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« Mon commerce, j’en ai rêvé et je l’ai fait, c’est une réussite personnelle que je dédie à tous les entrepreneurs. »

Léa est arrivée dans le onzième arrondissement de Paris par sa passion du vintage. Depuis longtemps, elle fréquente les vide-greniers, les vides-dressings et autres brocantes spécialisées dans les vêtements d’occasion, pour la revente.

Trouver les bons habits est une chose, les revendre en est une autre. Elle a donc l’idée de multiplier les locations de boutiques éphémères et elle apprend ainsi à présenter ses acquisitions et à affuter ses arguments de vente.

Maintenant à la tête d’une boutique vintage : Roussotto Vintage & Custom, elle s’est forgée une bonne réputation auprès des amateurs et attire les touristes de passage. Elle embauche des étudiants en alternance qui assurent sa présence sur les réseaux sociaux et gèrent habilement sa communication.

Mais tout n’a pas toujours été aussi rose et l’entreprise a failli être balayée à peine créée. En effet, Léa commence son activité il y a un peu plus de deux ans, après avoir obtenu un prêt de 10 000 € à l'agence Adie d'Asnières.

Hélas, quelques mois après son démarrage, la boutique fait face à la fermeture administrative, puis aux couvre-feux imposés par les autorités pour combattre la COVID. Les prévisions de chiffre d'affaires ne sont pas au rendez-vous et les mises en demeure du propriétaire s'accumulent. Son entreprise ayant été créée depuis moins de six mois, elle ne reçoit aucune aide de l’État.

Néanmoins, le crédit de l’Adie et le soutien de son équipe permettent à Léa de passer le cap.

« Heureusement, le stock étant déjà constitué, il n’y avait pas de fournisseurs à payer. Sans l’Adie, ma boutique ne serait plus là aujourd’hui. »

Maintenant, elle regarde vers l’avenir et cherche à ouvrir une deuxième boutique dans la village Popincourt : haut lieu du shopping vintage. Elle veut la dédier aux vêtements de luxe de seconde main.

Pour mener à bien ses projets, elle peut compter sur son expérience, sa formation au management à l’école hôtelière, le soutien sans faille de son réseau et, à n’en pas douter, sur le financement de l’Adie.

« Mon commerce, j’en ai rêvé et je l’ai fait, c’est une réussite personnelle que je dédie à tous les entrepreneurs. »

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