Entrepreneure, magicienne du bien-être et mère, Malika femme aux multiples casquettes s’épanouit dans sa vie de cheffe d’entreprise. Besoin d'une une pause détente, de lâcher-prise ? Malika vous accueille à son Cabinet Bien-être Malika Suez-Panama, à domicile et en entreprise.
C’est pourtant le hasard qui la conduit à choisir cette profession.
« Suite à un licenciement économique, j'ai décidé de prendre du temps pour moi et de réfléchir à ce que j'avais envie de faire. »
Employée de vente de compléments alimentaires, Malika pense d’abord à se former aux plantes afin de rajouter une corde à son arc et de mieux conseiller ses clients. C’est ainsi qu’elle s’inscrit à une formation de conseiller en hygiène de vie et est rapidement séduite par le module « massage ».
« J'ai eu un déclic et je me suis dit c'est ça que je veux faire. J'ai acheté ma table de massage que j'ai payé en plusieurs fois et je me suis lancée. »
Malika propose dans un premier temps ses prestations à domicile tout en suivant plusieurs formations pour compléter son catalogue de services. En 2017, elle saute le pas et s’inscrit en tant qu’auto-entrepreneure. En 2018, l'aventure progresse tant et si bien qu’elle s'associe avec 2 ostéopathes et pour créer un cabinet ensemble.
Son parcours n’est pourtant pas sans embûche.
« La toute première fois que j'ai fait une demande de financement, elle m'a été refusée sur le motif que je ne travaillais pas assez. »
Elle revoit alors son projet, et engage avec ses associés ses frais personnels pour transformer le cabinet à leur image, un lieu accueillant où les personnes apprécient de venir.
Par la suite, l’arrivée de la crise sanitaire pousse la cheffe d’entreprise à se poser des questions sur l’avenir de son activité, l’orientation à lui donner en cas de reconfinement. C’est à ce moment précis qu’elle rencontre l’Adie qui la soutient dans son projet de formations pour diversifier ses prestations.
« En mars 2022, j’ai eu la chance de rencontrer Madame Batiza de l’Adie qui m’a proposée un accompagnement au développement de mon activité. Je n’y croyais pas car j’avais déjà fait l’objet de refus. »
Aujourd’hui, Malika savoure le fait de pouvoir adapter son temps de travail à sa famille, et se projette dans le futur avec un cabinet plus grand, une entreprise stable et fructueuse. Elle pense même à rendre son cabinet mobile pour aller à la rencontre de ses clients : en établissement scolaire, en consultation individuelle, en ateliers, à domicile....
Son conseil à ceux qui souhaitent se lancer mais qui hésitent encore :
« Croyez en vous, entourez-vous des bonnes personnes pour vous aider à monter votre projet. »