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« C’est assez formidable de voir que le projet de l’Adie, ses engagements, ses actions, recueillent un soutien et une adhésion de dirigeants d’entreprises, sensibles à leur ancrage territorial. »

« C’est assez formidable de voir que le projet de l’Adie, ses engagements, ses actions, recueillent un soutien et une adhésion de dirigeants d’entreprises, sensibles à leur ancrage territorial. »

Marc, 61 ans, est un bénévole engagé. Marié et père de cinq enfants, il est également l'heureux grand-père d'une petite-fille. Parisien d'origine, il emménage à Quimper en 1998, puis à Brest en 2005, où il construit une carrière professionnelle intense dans le secteur financier.

« C'est grâce à Arnaud Giraudon, entrepreneur et président du Comité Adie Bretagne, que je découvre l'Adie. Il me parle de l'association il y a quelques années, soulignant qu'elle me plairait et que nous aurions certainement des choses à faire ensemble. Il ne s’était pas trompé! »

Après une formation à l'ESSEC, Marc consacre sa carrière au secteur financier. 12 ans chez Natixis, puis 26 ans au sein du groupe Crédit Mutuel Arkéa, par ailleurs partenaire historique de l’Adie. Il y occupe des postes de direction d'agences de banque d'entreprises, avant de prendre la tête des activités de capital investissement chez Arkéa Capital pendant 17 ans.

Hasard de la vie et du calendrier, en décembre dernier, il choisit de terminer sa carrière différemment, en prenant du recul et en se rendant utile à une structure engagée dans une cause sociétale. Il pense naturellement à l'Adie et s'y engage sous forme de mécénat de compétences pendant 7 mois, avec l'accord d'Arkéa.

« J’ai eu l’opportunité de lancer des chantiers assez prometteurs dans la collecte de fonds dans le Grand Ouest avec Théo Minart, chargé des partenariats privés, et j’ai logiquement voulu prolonger ces actions en m’engageant comme bénévole, totalement convaincu et enthousiaste du bien-fondé et de la grande utilité sociale de l’Adie. »

Depuis quatre mois, Marc prend contact avec des chefs d'entreprises pour rechercher des engagements de mécénat, en collaboration avec les collaborateurs de l’Adie. Il a déjà obtenu des accords intéressants, démontrant l'adhésion des dirigeants du Grand Ouest à l'action de l'Adie.

« En parallèle, je soutiens l’équipe salariée de l'agence de Brest, où j’accompagne des entrepreneurs et aide à l'organisation d'événements. »

Il le fait notamment en prenant en compte les enjeux écologiques. Il croit fermement que l'Adie doit accompagner les entrepreneurs sur cette dimension pour assurer la pérennité de leurs projets.

« Aujourd’hui, ce n’est plus une option facultative et les entreprises qui n’englobent pas ce volet dans leur projet stratégique se fragilisent grandement et seront menacées à terme. »

Tout n’est pas parfait et il y a quelques obstacles à franchir mais Marc éprouve une grande satisfaction dans le fait de se rendre utile et dans la qualité des relations qu'il entretient avec les salariés et bénévoles de l'Adie.

« Je me souviens particulièrement du sourire ému d'un entrepreneur ayant ouvert son épicerie dans un quartier difficile de Brest, exprimant sa fierté et sa reconnaissance envers l'Adie pour le soutien apporté. À travers ce témoignage, j’ai le sentiment de me rendre utile à une cause en laquelle je crois profondément, et de sentir que j’apporte ma pierre, même si c’est modestement, à la construction d’une société plus juste où chacun peut avoir sa chance. »

 

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