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À 64 ans, Alain lance Barak’ Burger, food truck de burgers à base de produits du terroir

Temps de lecture : 4 minutes
« Je me dis parfois que si je n’avais pas l’âge que j’ai, j’achèterais d’autres food trucks pour faire prospérer l’affaire. Mais bon, je n’ai plus vingt ans ! »

Avant de devenir le roi des food trucks morvandiaux, Alain a connu plusieurs vies.

Longtemps, il travaille comme commercial dans les produits chimiques, avant de se laisser tenter une première fois par l’aventure entrepreneuriale en reprenant avec son épouse une épicerie rurale, dans son village de La Collancelle. 

Malheureusement, au bout de quelque temps, ils se voient contraints de mettre la clé sous la porte.

Une fois remis de cet échec, en âge de prendre sa retraite, Alain ne pense pourtant qu’à une chose : recommencer en lançant une nouvelle activité, mais cette fois-ci à mi-temps.

Seul, il finance l’achat de son premier food truck, du matériel et de la mise aux normes d’un petit local dans son habitation principale, afin de pouvoir y transformer la viande dans les bonnes conditions d’hygiène.

Dans son Barak’ Burger, Alain ne propose que des burgers de qualité, avec de la bonne viande charolaise du terroir, du pain du boulanger du coin, et des garnitures fournies par un réseau de producteurs du cru. Au départ, on lui dit que cette exigence ne sera pas rentable. Erreur ! C’est précisément ce qui fait le succès de ses burgers, non seulement à Nevers mais aussi dans une multitude de petites communes de la Nièvre, de Decize à Moulins, en passant par Imphy, Saint-Saulge, Prémery, Corbigny, Guérigny ou encore Chitry-les-Mines.

Pour s’agrandir et faire l’acquisition d’un second camion plus fonctionnel, il obtient un prêt de l’Adie. L’association le met également en contact avec la communauté de communes, afin de lui permettre d’accéder à un financement européen pour acheter du matériel. 

A bientôt 65 ans, débordant d’énergie, et après avoir surmonté beaucoup d’obstacles, Alain participe activement à la vie du territoire. Avec sa femme, ils ont créé 3 emplois en CDI en embauchant des jeunes des petites communes alentours.

« Mon épouse, Aline, est la directrice générale. Et moi, je suis le président non rémunéré de la société. Car, maintenant, je suis officiellement en retraite. Mais j’ai encore envie de réaliser plein de choses ! »

Bien loin de l’idée de se mettre à la retraite, le couple forme encore le projet ambitieux de reprendre la gestion de la guinguette du Port de Chaumot pour animer les berges du Canal avec de la restauration et des concerts.

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