Fabrice a créé "Vins et Variations", un media autour de vins pépites
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"Ce que je retiens de l'Adie, c'est surtout l'accompagnement, car quand on se lance dans la création de sa boîte, on se sent souvent seul."
C’est à l’âge de 16 ans que Fabrice découvre l’univers du vin en entrant en école hôtelière où il étudie 6 ans. A 23 ans, il devient directeur d’un hôtel, métier qu’il exerçe pendant 3 ans sans réellement avoir l’opportunité de partager son goût et son expérience en matière de vin.
Voulant retrouver un emploi en lien direct avec le vin, il devient caviste à Paris. Au bout de 10 ans, l’ennui s’installe et le besoin d’aller sur le terrain se fait ressentir. Il décide donc de se lancer un nouveau défi en associant sa passion pour le vin et son talent pour les mots.
Il découvre que le siège social de « LeRouge&leBlanc », une revue qu’il affectionne particulièrement, est située juste en face de sa cave. C’est ainsi qu’il rentre en contact avec le directeur de publication de cette revue, qui lui permettra, quelques temps plus tard, d’intégrer ce trimestriel destiné aux amateurs de vins. Durant cette même période, il reprend également des études au Celsa-Paris-Sorbonne afin d’y suivre un Master 2 en journalisme.
Son diplôme obtenu, il continue d’écrire pour la revue « LeRouge&leBlanc » et commence à sillonner les vignobles français, caméra au poing. De ces expériences va naître « Vins&Variations », en septembre 2015. Ce média 100% vidéo, propose, chaque mois, de sortir des sentiers battus en parlant des régions peu connues, voire parfois inconnues. Fabrice parle, lui, de vins « pépites ».
En réalisant de plus en plus de reportages, Fabrice se rend compte qu’avoir son propre matériel devenait nécessaire pour gagner du temps. Pour obtenir les fonds nécessaires, il fait appel à l’Adie et demande un microcrédit. En plus de ce microcrédit, il a bénéficié d’un accompagnement qui l’a beaucoup rassuré.
« Ce que je retiens de l’Adie, c’est surtout l’accompagnement car quand on se lance dans la création de sa boîte, on se sent souvent seul. »
Aujourd’hui, Fabrice continue d’explorer les régions françaises à la recherche de nouveaux vins. Il anime également des ateliers de dégustation et souhaiterait qu’ils soient « dématérialisés », sous format vidéo, pour qu’ils puissent être suivis de n’importe où.