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Julie, maraichère à Aunac-sur-Charente

Temps de lecture : 4 minutes
A l’été 2018, à seulement 24 ans, Julie a créé son activité de maraichage bio à Aunac-sur-Charente. Depuis, elle fait pousser des fruits et légumes de saison qu’elle vend sur les marchés.

Avec des parents gérants d’un domaine viticole, Julie se voyait reprendre l’exploitation familiale. En 2013, elle passe donc un bac pro « vigne et vin ». Mais au même moment, une maladie génétique qui réduit son champ de vision se déclare. Au fil des ans, ce handicap la rend moins efficace et rapide dans les travaux viticoles. En 2017, Julie constate qu’elle ne pourra poursuivre sa carrière en viticulture.

Aimant les plantes et les travaux extérieurs, elle décide de réorienter son projet entrepreneurial vers le maraichage bio. Ses parents, qui la soutiennent dans ce nouveau projet, lui mettent à disposition un hectare de leur exploitation pour cultiver ses fruits et légumes.

Ne reste plus qu’à trouver un financement et des conseils pour démarrer sereinement. Certaine d’essuyer un refus de par sa situation de jeune et au chômage, Julie n’a pas sollicité les banques.

En 2018, elle contacte l’Adie, sur les conseils de son père, lui-même passé par l’association plus de 15 ans auparavant. Elle rejoint alors la formation « Je Deviens Entrepreneur » à Angoulême pour structurer son projet et compléter ses connaissances afin de démarrer dans de bonnes conditions son activité. Puis obtient un financement de l’Adie qui lui permet d’investir dans un camion et du matériel pour faire les marchés.

Le montage de différents dossiers administratifs (Agefiph, MSA..) prennent du temps, ce qui retarde le démarrage de l’activité, mais Julie met ce temps à contribution pour réaliser ses plantations.

Le temps est toutefois capricieux : les fortes pluies du printemps l’obligent à investir dans une débroussailleuse qui n’était pas prévue, tandis que la sécheresse de l’été réduit sa production.

Elle ne réalise alors que deux marchés hebdomadaires au lieu des cinq initialement prévus, où elle écoule toute sa récolte.

Malgré une saison difficile en raison du climat, l’activité couvre ses charges et Julie espère prochainement pouvoir se rémunérer grâce à une meilleure préparation et à un gain d’expérience.

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