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Najaah, traiteur, fait découvrir les saveurs mauriciennes

Temps de lecture : 4 minutes
« Je ne venais pas du tout du monde de la restauration et il a fallu que je prenne confiance en moi. »

Il y a trois ans, Najaah a décidé d’arrêter son travail en ressources humaines et de se lancer dans une nouvelle carrière, dans un secteur qu’elle adore : la cuisine.

L’idée de se professionnaliser en tant que traiteur a germé petit à petit dans son esprit alors qu’elle ne prenait plus goût à travailler au sein de grandes entreprises. Originaire de l’Île Maurice où elle a vécu jusqu’à ses 19 ans, elle qui aimait recevoir ses amis s’est décidée, encouragée par eux, à se lancer dans la restauration. Son objectif : renouveler l’offre de cuisine ethnique en région parisienne, en y ajoutant une touche d’originalité.

Cela a pris du temps : si, grâce à sa formation, elle avait déjà des compétences en comptabilité, gestion financière…, elle ne savait pas comment passer de la théorie à la pratique pour devenir entrepreneure, ni quel format choisir. D’abord motivée par l’idée d’ouvrir un foodtruck, elle a ensuite hésité à travailler sur les marchés mais s’est finalement tournée vers le métier de traiteur pour des événements d’entreprises et, dans une moindre mesure, pour des particuliers.

L’Adie lui a permis d’être mieux armée pour mener à bien son projet. Lorsqu’elle a entendu parlé de l’association et de son programme CréaJeunes, ancien Je Deviens Entrepreneur, Najaah a choisi de le suivre et a bénéficié en parallèle d’un microcrédit affecté à l’achat de matériel de cuisine et à la constitution d’une trésorerie.

« Ce qu’il me manquait vraiment, c’était de pouvoir être dans un cadre de travail, et en ça, l’Adie et Créajeunes, c’était super ! »

Pour elle, l’aide reçue a eu l’effet d’un déclencheur lui permettant de dépasser ses appréhensions et le sentiment d’illégitimité qui l’habitait au départ, elle qui venait d’un tout autre univers que celui de la restauration.

Aujourd’hui, son entreprise, Le Comptoir Mauricien, se porte bien et a gagné en visibilité. Najaah est toujours en contact avec ses conseillers de l’Adie : le fait de pouvoir s’adresser à eux à tout moment en cas de problème la rassure.

Son prochain défi ? Développer son activité en Bretagne où elle a déménagé. La demande y est importante, l’offre limitée, c’est donc en confiance qu’elle envisage désormais l’avenir !

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