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Séverine crée une entreprise de sellerie nautique en Corse

Temps de lecture : 2 minutes
« Aucune année ne se ressemble mais toutes sont positives. Ce sont finalement les galères qui me font avancer. »

Beaucoup s’arrêtent quand les obstacles se présentent. Mais c’est dans l’adversité que Séverine sait le mieux mobiliser ses ressources. 

« Je suis bélier, je fonce. Ça me vient de mon papa bricoleur qui trouve toujours des solutions. » 

Depuis 10 ans, c’est dans le métier de la sellerie nautique qu’elle déploie cette énergie à toute épreuve. Après un apprentissage à la voilerie sellerie Hippocampe, à Porto-Vecchio, un an de formation à Cannes pour passer son certificat de sellerie nautique et une expérience dans un atelier de couture, Séverine rentre en Corse où un chantier nautique la recrute pour effectuer un remplacement pendant deux ans.

« J’ai eu beaucoup de chance avec mes premières expériences avec des gens bienveillants et à l’écoute. Mais sur le chantier corse, j’ai dû partir en pleine saison, avec pertes et fracas, suite à un gros problème de comportement du patron. »

Pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa fille, Séverine doit alors travailler comme aide à domicile le matin et démarre en parallèle son activité en auto-entrepreneure à mi-temps, dans l’atelier d’un tapissier mieux équipé qu’elle en machines.

Un jour, un ami lui apprend qu’un local se libère : un magnifique studio de danse de 180m2 en forme de L, qui lui permet d’aménager son atelier et un appartement. Cette opportunité doit lui permettre d’éviter de payer 2 loyers en parallèle pendant trois ans. Mais son compagnon s’en va au bout de trois mois, lui laissant la charge entière du loyer.

Quand la crise sanitaire se déclare, Séverine ne peut plus compter sur le filet de sécurité de son revenu d’aide à domicile. Elle décide d’y voir l’opportunité de se concentrer à 100 % sur sa petite entreprise de réfection de coussins et de biminis de bateaux. Elle se tourne alors vers l’Adie, qui lui prête de quoi acheter un utilitaire et assurer la trésorerie nécessaire pour lancer Cap’O Sud.

« Je ne sais pas si c’est parce que je suis ouverte avec les gens, mais malgré les galères, aussi bien l’Adie, que des fournisseurs, mon propriétaire et des clients m’ont toujours beaucoup aidée en me faisant confiance. » 

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