Anaïs ouvre le studio 126, salon de coiffure pour hommes, à Tours

« C’était un combat au quotidien… mais c’est un beau challenge ! »
Anaïs a toujours su qu’elle voulait travailler dans la coiffure : elle passe son CAP après un apprentissage en alternance dans un salon, et se spécialise ensuite dans la coiffure pour homme et barbier.
Anaïs travaille dans ce domaine, en tant que salariée, pendant une dizaine d’années dans plusieurs villes de France. Un jour, un proche d’Anaïs, propriétaire d’un salon de coiffure à Tours, lui fait part des difficultés qu’il rencontre avec l’exploitant actuel du salon qui ne paye plus le loyer. Connaissant le parcours d’Anaïs, il lui propose de reprendre le salon.
« C’était une opportunité à ne pas laisser passer. »
Le salon était alors en très mauvais état et il fallait le remettre au goût du jour. Anaïs fait toutes les démarches auprès de la mairie, puis auprès des entrepreneurs pour retenir une proposition de rénovation compatible avec ses possibilités financières. Anaïs lance alors les chantiers de travaux en 2020, en pleine crise sanitaire qui lui complique alors beaucoup les choses. Ayant besoin de financement pour assurer le développement de son projet, elle contacte l’Adie, et établit, avec l’aide de ses équipes, un prévisionnel en se tablant sur un chiffre d’affaires mensuel. Elle obtient alors un financement.
« J’ai dû déployer beaucoup d’énergie pour restaurer l’image du salon. »
Aujourd’hui, Anaïs travaille et réalise, à elle seule, un chiffre d’affaires moyen mensuel de 5 000 € dans son salon Studio 126. Sa première année d’activité est très satisfaisante et sa marge de progression est encore importante. Si tout se passe bien, Anaïs souhaiterait créer une franchise, car tous les produits qu’elle utilise sont déjà conditionnés sous sa propre marque. Anaïs est maintenant épanouie dans son activité, et ne regrette aucunement sa décision !