Céline, une reconversion professionnelle dans la luxopuncture à Thiers
Temps de lecture : 3 minutes
« La médecine douce a été une révélation ! Ma santé s’est améliorée peu à peu, j’ai modifié mon hygiène de vie et, au final, j’ai éprouvé l’envie de créer ma propre entreprise dans ce secteur d’activité. Je me suis lancée ! »
Suite à des problèmes de santé, Céline découvre la médecine chinoise et ouvre son cabinet de luxopuncture à Thiers. Une manière de changer de voie et de promouvoir cette technique de bien-être, apparentée à de l’acupuncture… mais où la lumière infrarouge remplace l’aiguille !
Comment faire face à une reconversion professionnelle que Céline se voit imposer suite à des problèmes de santé ? Employée de commerce pendant de nombreuses années à Thiers, Puy de Dôme, et mère de 3 enfants, la créatrice d'entreprise relève le défi.
Avant d’envisager de reprendre une activité professionnelle, Céline doit se soigner, et découvre ainsi la médecine chinoise.
« Cela a été une révélation ! Ma santé s’est améliorée peu à peu, j’ai modifié mon hygiène de vie et, au final, j’ai éprouvé l’envie de créer ma propre entreprise dans ce secteur d’activité. Je me suis lancée ! »
En 2019, à l’issue d’une longue période de préparation pendant laquelle Céline suit de nombreuses formations et murit son projet, elle décide d’ouvrir les portes de son cabinet DSR Luxoponcture et réflexologie. Céline, alors demandeuse d’emploi, n’obtient pas le financement nécessaire auprès des banques traditionnelles. Elle contacte alors l’Adie, qui étudie puis finance son projet, lui permettant d’exercer le métier dont elle rêve.
Les premiers mois d’activité de DSR sont particulièrement prometteurs grâce à la pertinence du dispositif élaboré par Céline : présence sur les réseaux sociaux, participation à des salons professionnels, mise en place d’un système de parrainage… De quoi attirer et fidéliser de nombreux clients !
Mais la crise sanitaire et le premier confinement stoppent net cette belle dynamique.
Si le dispositif de soutien mis en place par l’État lui permet alors de garder un revenu minimal, la jeune cheffe d’entreprise décide de revoir entièrement son activité pour conserver sa clientèle : soins à domicile, modulation des horaires, commercialisation d’une gamme de thés et infusions naturels…
Aujourd’hui, le pari est en passe d’être gagné. La clientèle retrouve le chemin du cabinet et Céline se félicite de son choix… Forte des épreuves surmontées et de la belle relation de confiance nouée avec ses clients, elle sort grandi de la crise !
« Bien sûr, je continue à me battre, je ne lâche rien ! »
Céline poursuit le développement de son activité, et propose désormais des séances de Fish-spa* dans son cabinet, débutant ainsi de belle manière sa 3e année d’exercice.